En cette occasion, qui est peut-être pour moi la dernière aux fonctions que j’occupe, je voudrais d’abord saluer votre présence et vous dire, comme chaque année que je suis heureux de vous retrouver, heureux de revoir celles et ceux qui accordent à cette commémoration toute l’importance qu’elle m
Pour commémorer le centenaire de la fin de la grande guerre, nous allons planter un olivier, symbole de paix, dans les jardins des Glycines le 24 novembre à 10h. Chaque commune apporte sa contribution avec ses symboles.
En 1914, la percée des troupes allemandes en Belgique et dans le nord de la France est si rapide que plus de 400 000 civils, essentiellement des femmes, des enfants et des vieillards, se retrouvent sur les routes fuyant les zones de combat.
Cette année, ce qui nous interpelle, ce qui donne un sens particulier à cette commémoration, c’est le flot incessant des réfugiés sur les bords de la Méditerranée.
Nous avons une histoire commune, qui ne peut s’effacer de nos mémoires.
Commémorer la fin du premier conflit mondial, c’est d’abord saisir l’occasion de méditer l’absurdité, la folie de la guerre en général, car on y trouve à foison des exemples des monstrueux gâchis qu’elle occasionne, des faits qui ne devraient jamais se répéter.
En cette occasion qui est peut-être pour moi la dernière aux fonctions que j’occupe, je voudrais d’abord saluer votre présence et vous dire, comme chaque année que je suis heureux de vous retrouver, heureux de revoir celles et ceux qui accordent à cette commémoration toute l’importance qu’elle mé
Chaque année, nous mesurons ensemble à quel point l'occasion qui nous réunit, loin de nous limiter à la célébration d'un rituel nécessairement répétitif, nous offre l'occasion d'appliquer les leçons du passé aux enjeux du moment.
Chaque année, nous mesurons ensemble à quel point l'occasion qui nous réunit, loin de nous limiter à la célébration d'un rituel nécessairement répétitif, nous offre l'occasion d'appliquer les leçons du passé aux enjeux du moment.
Les grandes dates de notre Histoire ne nous donnent pas seulement matière à commémoration ; elles éclairent continuellement, et à chaque fois de manière différente, notre présent.
Le 11 novembre, à l’évidence, compte au nombre de ces dates –là.
Je crois que cette année, notre mémoire doit aborder de nouvelles contrées car l'année 2008 a vu s'éteindre le dernier des Anciens Combattants, Monsieur Lazare Ponticelli. Avec lui se tourne une page de l'Histoire de la France au cœur d'un séisme à l'échelle mondiale.